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expositions  - projets

expositions sélection

2019

Pour que la matière ait tant de pouvoir, faut-il qu’elle contienne un esprit?, Solo show, Galerie Mémoire de l’Avenir, Paris

-Les Etats Morphoses, Ateliers des artistes de Belleville, Paris

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2018
- Manger, Galerie Mémoire de l'Avenir, Paris
- Présences 2, Itinéraires-art contemporain, Espace Christiane Peugeot, Paris
- Wonder, Galerie Mémoire de l'Avenir, Paris
- Trajectoires et Déplacements, Biennale d'art contemporain de Cachan
- "Et maintenant si on dansait..", Atelier Bonheur, Antony

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2017

- Paysages, pas si sages, Musée de la carte à jouer, Biennale d'Issy, Issy-les-Moulineaux

- Circuit d'Art Actuel,  Grisycode, Grisy-les-Plâtres, Vexin

- Artistes à découvrir, Maison des Arts, Antony

- Art Caché,  Eurocultures, Albas, Corbières

- Eros, Galerie La Ralentie, Paris

 

2016

- Est-ce ainsi que les femmes pensent?, en duo avec Martine Bartholini, Bateau-Lavoir, Paris

- Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris

- Tissé, retisser, Salle Espailloux, Les milles tiroirs, Pamiers

- Polistopia, Galerie Mémoire de l'Avenir, Paris

- Ce qui passe et ce qui reste, en duo avec MC Jaladon, Galerie Mondapart, Boulogne- Billancourt

- Il y a 100 ans déjà, Château Raspail, Biennale d'art contemporain de Cachan

- Corps et Graphie,  la Sévrienne des Arts, Le sel, Sèvres,  Prix de la galerie Mondapart

                              

2015

- Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris

- A l'origine, Galerie du Montparnasse, Paris

- Couleurs et Illusions, Galerie "A l'Ecu de France", Viroflay

 

2014 

- Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris

- Cercle Culturel Artistique, Antony,  Prix de sculpture du Jury

 

 2013

- Détournées, en trio avec M. Bartholini et E. Imbert, Open Studios, Cité Internationale des Arts, Paris

 

2012 & 2008

- Projets atelier de sculpture EMA, Galerie municipale, Vitry sur Seine

 

2011-2001 

- Participation au projet du « sentier des arts «, Vitry sur seine

Collaboration association bvsc et  Mac Val : ouverture à la création artistique des habitants et enfants du quartier  (créations et installations)

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Artistes à découvrir , Maison des arts, Antony, 21/06/2017 - 23/07/2017

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De formation ingénieur chimiste, Isabelle Terrisse est artiste depuis quinze ans. Après avoir pratiqué la céramique, tout commence véritablement lorsqu’elle récupère sur son lieu de travail un stock de 4000 lames de microscope qui allait être jeté. Aujourd’hui, l’artiste plasticienne fait œuvre de tout matériau, proposant ainsi au regard une création éclectique et singulière.

 

Isabelle Terrisse utilise dans ses créations originales des objets donnés ou chinés, tels qu’un album de photographies du XIXe siècle (Anonymes) ou de la vaisselle (À table). Elle travaille par associations d’idées avec les matériaux : c’est en observant ces derniers qu’elle imagine l’histoire dont ils vont se faire les conteurs. À chaque nouvelle idée, l’artiste apprivoise la matière et apprend de nouvelles techniques de mise en forme (tissage, pliage, collage, sculpture, impression, etc.).

 

Ses œuvres hétéroclites abordent des procédés semblables, le passage du multiple à l’unique notamment, et développent des thématiques similaires liées au temps qui passe (Processus) à travers la confrontation en une même création d’oppositions telles que la vie et la mort (Nids d'abeilles), la robustesse et la fragilité (La fragilité de la vie), le solide et le liquide (Drapé), ou encore l’immobilité et le mouvement (Oxymore).

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— Maison des Arts Antony

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Est-ce ainsi que les femmes rêvent? en duo avec Martine Bartholini
Bateau-Lavoir, Paris, 16/11/2016 - 30/11/2016

 

Martine Bartholini et Isabelle Terrisse présenteront, du 16 au 29 novembre au Bateau lavoir, des œuvres en trois dimensions qu’apparente la rencontre en court circuit, l’interpénétration, d’identités foncièrement étrangères. Mais les deux artistes ne privilégient pas les mêmes champs.

 

 Chez Isabelle Terrisse, souvent, la violence s’intrique avec la douceur, la pesanteur de la matière avec la fragilité, la froideur du matériau avec la chaleur humaine, la menace du temps avec la palpitation du moment. Il y a des métamorphoses – ainsi, ces douilles de balles qui, en se juxtaposant font apparaître un rayon de miel – et il y aussi des unions paradoxales -  ainsi, entre la pesanteur d’une lourde masse en forme de fÅ“tus et la fragilité de verre sur laquelle elle repose.

 

Chez Martine Bartholini, cela se passe plutôt entre le haut et le bas, le ciel et la terre, le spirituel et le viscéral. Lequel existe ici dans toute la force de sa crudité. Et dans un siècle très chrétien, la femme de cette audace n’aurait sans doute pas échappée aux supplices de l’Inquisition, avec sa robe de mariée née d’une métamorphose de boyaux de porcs, sa chimère composée d’hosties ou avec ses multiples compositions dans lesquelles les hosties s’unissent à des mues de serpent.

 

 Les Å“uvres que l’on découvrira, orientées par le désir de mettre en court circuit des dualités foncièrement étrangères, se situent dans une mouvance où il n’est pas rare aujourd’hui de rencontrer le mépris du beau. Mais elles sont belles et par là, oserai je dire, sont aussi pour demain.

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— Claude-Luca Georges

 

 

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Ce qui passe et ce qui reste, Galerie Mondapart, Boulogne-Billancourt, 09/06/2016 - 03/07/2016 

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Polistopia, Galerie Mémoire de l'Avenir, Paris, 09/07/2016 - 27/08/2016

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Fossiles urbains

Sur le modèle des mosaïques romaines qui représentaient des scènes de la vie quotidienne à l'aide de carrés de céramique ou de pâtes de verre colorées, j'ai imaginé une mosaïque contemporaine à partir de matériaux emblématiques de notre époque.

Cette mosaïque est constituée de 45 pavés 12X12 en béton, bitume ou cire.

Dans ces pavés, des morceaux incrustés, emprisonnés, fossilisés portent la mémoire des mains des travailleurs et témoignent de la déformation due aux incessants passages.

Des fragments de textes publicitaires, transférés dans la matière illustrent les images rémanentes des diverses sollicitations à la consommation.

Ces fossiles urbains portent la mémoire minérale des formes passées & présentes.                                                                                                                       

— Isabelle Terrisse

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